advertisment-image
0
Homélies paroissiales
Homélie du 25 septembre 2022 par l'abbé Alexandre-Marie Robineau
Homélie du 25 septembre 2022 par l'abbé Alexandre-Marie Robineau
© a

| Webmaster 4535 mots

Homélie du 25 septembre 2022 par l'abbé Alexandre-Marie Robineau

HOMÉLIE

Chers frères et sœurs bien-aimés de Jésus Christ,

Permettez-moi en premier lieu de donner la fine pointe de cet évangile puis d’ouvrir ensuite mon homélie sur des réalités plus larges qui vont marquer notre première année de vie commune pour notre nouvelle paroisse Notre-Dame de Luçon, en prenant notamment appui sur le témoignage de vie de prêtre du P. Auguste : eucharistie, service et les plus petits. 

1/ Parabole de Lazare

D’abord cet évangile bien connu du pauvre Lazare qui est donc une parabole, une histoire que Jésus nous raconte pour nous conduire vers un sens plus grand. Comme dans l’évangile de dimanche dernier, il y a des incohérences volontaires. Et il y a le risque d’une interprétation trop rapide avec une morale simpliste : le gentil pauvre contre le mauvais riche. C’est plus complexe et plus profond que ça ! En fait, la parabole elle cherche, elle veut ma conversion à moi maintenant ! C’est ça que veut Jésus. Le vocabulaire utilisé est surtout un vocabulaire familial : père, mes frères, mon enfant, etc. Et justement Lazare n’est pas appelé « frère » ! Le riche ne reconnaît pas Lazare comme un frère alors qu’il appelle Abraham Père donc reconnu comme le Père de tous les juifs ! L’abîme entre l’enfer et le paradis contre lequel Abraham ne peut rien faire, signifie en vérité le drame familial abyssal où un frère ne reconnaît pas son frère… où le riche ne veut pas voir Lazare… Même au Ciel, il le considère comme un serviteur et un esclave, et toujours pas comme un frère… Et il veut l’utiliser comme un objet pour éviter l’enfer… Le riche n’a décidément rien compris à ce qu’est la fraternité… et le nom « Lazare » vient d’Eléazar et veut dire « Dieu aide » pour montrer l’affection de Dieu pour lui, le pauvre, l’exclu, le paria…

Et au final, que veut nous dire Jésus ? Et bien que Dieu s’occupe de la vie éternelle, et à nous de nous occuper de la vie fraternelle ! Si nous sommes le Peuple de Dieu, si nous disons et prions le Notre Père, c’est pour que nous soyons vraiment frères et sœurs ! Dieu demande de vivre en frère à l’exemple de Jésus, le Frère universel véritable, le frère de tous, qui par amour a donné sa vie, est mort et ressuscité, et nous donne son Corps pour nous unir en Lui et à Lui !

Les Ecritures veulent nous apprendre que mon frère est vraiment mon frère ! Et que tout ce que nous avons et notamment notre richesse, nos biens, etc. doivent être au service de la fraternité ! La clef la plus profonde de toute la Bible : c’est la question familiale ! Toute la Bible n’est qu’une question de fraternité blessée et retrouvée : Caïn et Abel, Isaac et Ismaël, Jacob et Esaü, Joseph et ses 11 frères, etc. Ainsi la relation à Dieu implique la relation à l’autre et au frère ! C’est le sens du mot religion selon la tradition judéo-chrétienne : relier : relier à Dieu et relier au frère ! Aimer Dieu et aimer son prochain comme soi-même !

Et c’est une invitation à vivre cette fraternité pour chacun de nous et ce dès maintenant ! 

2/ La centralité de l’eucharistie 

Car c’est tout l’enjeu de notre nouvelle communauté paroissiale qui commence : vivre une vraie et profonde fraternité chrétienne et évangélique pour rayonner ensemble, en Eglise, de la joie d’être aimé, pardonné et sauvé par Dieu !

Certes le territoire s’élargit, nous sommes moins nombreux, les habitudes changent, etc. etc. la liste des complaintes et des peurs pourrait être bien longue ! Chers amis, il faut apprendre à voir ce qui est possible et devant, et non pas ce qui n’est plus et derrière ! C’est un combat que d’espérer et de se bouger pour que, par le don de nous-mêmes, le Seigneur puisse faire des merveilles et des petits miracles cachés dans nos vies et dans notre communauté !

Et la clef pour cela c’est vraiment la foi eucharistique ! Malheureusement, comme de tout temps, certains prêtres et fidèles ne l’ont pas ou ne l’ont plus cette foi eucharistique vitale et fondamentale, et bien on peut dire que ce n’était pas le cas du P. Auguste qui célébrait chaque jour, même dans sa salle à manger avec 2 ou 3 personnes, et même parfois pendant le confinement ! Parce que c’était sa boussole : la Présence réelle et miraculeuse de Dieu lui-même se faisant notre nourriture dans le Corps de son Fils Jésus !

Vous savez chers amis si on garde au cœur la foi eucharistique, avec ce que demande l’Eglise, tout tiendra bon, tout renaîtra, tout refleurira ! Comme le dit le Concile Vatican II : « l’eucharistie est la source et le sommet de la vie chrétienne ». Et justement nous prendrons le temps pendant cette année de creuser, approfondir et former notre foi eucharistique, à la demande du Pape François et suite à sa lettre de juin dernier qui nous servira de fil rouge et de repère pour avancer… C’est pourquoi nous devons soigner nos messes, nos liturgies, et consolider notre foi eucharistique car c’est par là que le Seigneur Jésus construit son Eglise, qu’il construit la communion véritable et qu’il nous donne la Vie, Sa Vie en abondance ! Tout doit être relatif à l’eucharistie car c’est le sacrement de l’unité et le lien de la charité ! 

3/ Le service : Tout l’enjeu est de recevoir Jésus pour en rayonner, pour le donner, le partager notamment par le service !

Vous savez quand, en Inde, j’ai appris le décès du P. Auguste, alors d’abord j’ai été bien triste de ne pas être présent à ses côtés, et en fait je n’ai pas été très surpris… Je me disais qu’à partir du moment où il allait partir de Ste Gemme, quitter son rôle de serviteur au milieu des gens, il ne mettrait pas longtemps à partir vers le Père… Le service, l’écoute, l’attention, la fraternité à l’école de Jésus était sa raison de vivre. Sans celle-là, à quoi bon rester ? Et le Seigneur le savait en le reprenant auprès de lui pour continuer à faire plus de bien au Ciel que sur la Terre… Et Auguste est parti rapidement, discrètement, humblement sans qu’on ait eu le temps de le remercier officiellement comme si tout cela lui importait peu et qu’il voulait surtout rejoindre son Seigneur qui a dû lui dire en le voyant : « bon et fidèle serviteur, entre dans la joie de ton maître ! ».

Son exemple doit nous guider pour nous mettre nous aussi au service de l’unité et de la communion en évitant les querelles de chapelle, de sensibilité, d’opinions, de points de vue. On peut avoir des désaccords car c’est la vie, c’est normal et c’est même bon, mais ceux-ci ne doivent pas mettre en péril la communion et l’unité du Corps du Christ ! Alors attention aux rumeurs, aux ragots, aux mensonges, aux interprétations qui divisent et qui blessent ! Vivons la fraternité concrète à l’école du Christ. Et celle-ci se vivra notamment dans la mission et notamment au service des plus pauvres ! 

4/ Les plus pauvres

Je suis rentré pile aujourd’hui il y a un mois de l’Inde et notamment de Calcutta. Et un des enseignements les plus profonds de Ste Mère Teresa de Calcutta c’est cette foi incroyable pour voir Jésus dans le Pain de Vie, l’eucharistie, et voir Jésus dans les plus petits, les pauvres ! Toucher le Corps du Christ ! Plus nous aurons la foi eucharistique et plus nous nous mettrons à genou pour servir les plus petits, sachant que la plus grande des pauvretés est de ne pas être aimé, comme le rappelait souvent Mère Teresa ! et on peut dire qu’il y a beaucoup de pauvreté autour de nous, chez nous !!!

Il est bon de souvent revenir à Calcutta, dans tous les Calcutta de nos vies, pour nous remettre bien à notre place de serviteur quand parfois, chez nous, on se plaint, on se désole, on se prend la tête pour 1000 et 1 broutilles, et là on se met à genou pour soigner un lépreux ou un tuberculeux, un malade, un pauvre, un Lazare, on lave son linge, on le nourrit bouchée après bouchée, on le masse, on le soigne ; ça remet en place et ça fait du bien ! ça remet devant l’essentiel ! « Les pauvres sont nos maîtres » disait St Vincent de Paul (27/09).

Et ça commence ici, chers amis ! Mettons-nous au service les uns des autres ! Allons vers tous nos frères pour leur partager l’amour de Jésus, cette dimension missionnaire « d’aller vers », de « sortir », de quitter nos canapés, à laquelle le Pape François nous invite sans cesse pour être tous des disciples-missionnaires, car c’est cela qui, en vérité, éteint nos querelles ! La mission pousse à la communion, et la communion pousse à la mission ! Les deux se nourrissent ! C’est le sens de l’eucharistie : recevoir Jésus et tout son amour, pour regonfler les batteries, et aller le partager autour de nous avec joie et empressement ! Et notre bon petit Père Auguste était un heureux et authentique témoin de cette joie infatigable qui visite, réconforte, écoute, soutient, soulage, accompagne avec bienveillance ses frères et sœurs, au nom de l’amour de Jésus ! Gardons cela au cœur et en mémoire ! Et vivons-le ! 

Je termine. Tout ce que nous avons à vivre en fait c’est la démarche synodale voulue par notre Pape François. C’est un filou ! Le Pape a lancé rapidement cette démarche de synode universel moins pour avoir des résultats et des changements comme une récolte de cahiers de doléances mais il l’a voulu pour aider toute l’Eglise et tous les baptisés à entrer dans une mentalité synodale qui veut dire « marche ensemble avec Jésus » afin que tous soient des disciples-missionnaires. Je rêve d’une paroisse encore plus missionnaire, allant vers tous avec joie, rayonnant de la foi du Christ venu sauver et aimer tous les hommes ! C’est l’affaire de tous et pas seulement du curé !

Comme je l’ai dit il y a 3 ans à mon arrivée ici, il s’agit, comme pour les œufs au bacon, de prendre exemple sur le cochon ! Car dans les œufs au bacon, certes la poule participe mais le cochon s’implique ! Il s’agit pour nous de vraiment nous impliquer en nous donnant, en donnant notre vie et quand on aime vraiment et qu’on s’implique et bien ça gratte un peu, ça décape, ça fait un peu mal, ça coûte ! On y laisse sa couenne et sa peau ! N’ayons pas peur de nous donner car l’amour ainsi grandira ! 

Et justement pour cela, demandons à la Vierge Marie, ND de Luçon, ND de l’Assomption, notre patronne, en lui consacrant tout à l’heure notre paroisse, demandons-lui de nous aider à nous donner, à aimer, croire et à espérer en vivant comme d’authentiques frères et sœur de Jésus, remplis et rayonnants de la joie de l’Evangile.

 

Je Vous salue Marie.jpg
Je Vous salue Marie.jpg © a
Je Vous salue Marie.jpg

 

Abbé Alexandre-Marie ROBINEAU +


 


LECTURES DE LA MESSE

 

PREMIÈRE LECTURE

« La bande des vautrés n’existera plus » (Am 6, 1a.4-7)

Lecture du livre du prophète Amos

Ainsi parle le Seigneur de l’univers :
    Malheur à ceux qui vivent bien tranquilles dans Sion,
et à ceux qui se croient en sécurité
sur la montagne de Samarie.
    Couchés sur des lits d’ivoire,
vautrés sur leurs divans,
ils mangent les agneaux du troupeau,
les veaux les plus tendres de l’étable ;
    ils improvisent au son de la harpe,
ils inventent, comme David, des instruments de musique ;
    ils boivent le vin à même les amphores,
ils se frottent avec des parfums de luxe,
mais ils ne se tourmentent guère du désastre d’Israël !
    C’est pourquoi maintenant ils vont être déportés,
ils seront les premiers des déportés ;
et la bande des vautrés n’existera plus.

    – Parole du Seigneur.

PSAUME

(Ps 145 (146), 6c.7, 8.9a, 9bc-10)

R/ Chante, ô mon âme,
la louange du Seigneur !
ou : Alléluia ! (Ps 145, 1b)

Le Seigneur garde à jamais sa fidélité,
il fait justice aux opprimés ;
aux affamés, il donne le pain ;
le Seigneur délie les enchaînés.

Le Seigneur ouvre les yeux des aveugles,
le Seigneur redresse les accablés,
le Seigneur aime les justes,
le Seigneur protège l’étranger.

Il soutient la veuve et l’orphelin,
il égare les pas du méchant.
D’âge en âge, le Seigneur régnera :
ton Dieu, ô Sion, pour toujours !

DEUXIÈME LECTURE

« Garde le commandement jusqu’à la Manifestation du Seigneur » (1 Tm 6, 11-16)

Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre à Timothée

Toi, homme de Dieu,
recherche la justice, la piété, la foi, la charité,
la persévérance et la douceur.
    Mène le bon combat, celui de la foi,
empare-toi de la vie éternelle !
C’est à elle que tu as été appelé,
c’est pour elle que tu as prononcé ta belle profession de foi
devant de nombreux témoins.

    Et maintenant, en présence de Dieu qui donne vie à tous les êtres,
et en présence du Christ Jésus
qui a témoigné devant Ponce Pilate par une belle affirmation,
voici ce que je t’ordonne :
    garde le commandement du Seigneur,
en demeurant sans tache, irréprochable
jusqu’à la Manifestation de notre Seigneur Jésus Christ.
    Celui qui le fera paraître aux temps fixés, c’est Dieu,
Souverain unique et bienheureux,
Roi des rois et Seigneur des seigneurs,
    lui seul possède l’immortalité,
habite une lumière inaccessible ;
aucun homme ne l’a jamais vu,
et nul ne peut le voir.
À lui, honneur et puissance éternelle. Amen.

    – Parole du Seigneur.

ÉVANGILE

« Tu as reçu le bonheur, et Lazare, le malheur. Maintenant, lui, il trouve ici la consolation, et toi, la souffrance » (Lc 16, 19-31)

Alléluia. Alléluia.
Jésus Christ s’est fait pauvre, lui qui était riche,
pour que vous deveniez riches par sa pauvreté.
Alléluia. (cf. 2 Co 8, 9)

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
Jésus disait aux pharisiens :
    « Il y avait un homme riche,
vêtu de pourpre et de lin fin,
qui faisait chaque jour des festins somptueux.
    Devant son portail gisait un pauvre nommé Lazare,
qui était couvert d’ulcères.
    Il aurait bien voulu se rassasier
de ce qui tombait de la table du riche ;
mais les chiens, eux, venaient lécher ses ulcères.
    Or le pauvre mourut,
et les anges l’emportèrent auprès d’Abraham.
Le riche mourut aussi,
et on l’enterra.
    Au séjour des morts, il était en proie à la torture ;
levant les yeux, il vit Abraham de loin
et Lazare tout près de lui.
    Alors il cria :
‘Père Abraham, prends pitié de moi
et envoie Lazare tremper le bout de son doigt dans l’eau
pour me rafraîchir la langue,
car je souffre terriblement dans cette fournaise.
    – Mon enfant, répondit Abraham,
rappelle-toi :
tu as reçu le bonheur pendant ta vie,
et Lazare, le malheur pendant la sienne.
Maintenant, lui, il trouve ici la consolation,
et toi, la souffrance.
    Et en plus de tout cela, un grand abîme
a été établi entre vous et nous,
pour que ceux qui voudraient passer vers vous
ne le puissent pas,
et que, de là-bas non plus, on ne traverse pas vers nous.’
    Le riche répliqua :
‘Eh bien ! père, je te prie d’envoyer Lazare
dans la maison de mon père.
    En effet, j’ai cinq frères :
qu’il leur porte son témoignage,
de peur qu’eux aussi ne viennent
dans ce lieu de torture !’
    Abraham lui dit :
‘Ils ont Moïse et les Prophètes :
qu’ils les écoutent !
    – Non, père Abraham, dit-il,
mais si quelqu’un de chez les morts vient les trouver,
ils se convertiront.’
    Abraham répondit :
‘S’ils n’écoutent pas Moïse ni les Prophètes,
quelqu’un pourra bien ressusciter d’entre les morts :
ils ne seront pas convaincus.’ »

    – Acclamons la Parole de Dieu.


Saint Firmin

évêque d'Amiens (IVe siècle)

 

Les historiens voient en lui le premier évêque d'Amiens où il aurait subi le martyre au IVe siècle. La légende du portail nord de la cathédrale d'Amiens se base sur un écrit du IXe siècle. Le sénateur Firmus conduisait son fils, le futur saint Firmin, au temple de Jupiter à Pampelune en Espagne quand il rencontra le prêtre chrétien Honestus qui lui parla de Jésus et lui fit rencontrer une semaine plus tard son maître, saint Saturnin, l'un des soixante-dix disciples de Jésus. Saturnin, à Pampelune, convertit quarante mille personnes en quelques jours dont le jeune Firmin qui, avec l'âge, devint un fidèle prédicateur du Christ. Firmin à vingt-sept ans reçut le sacre épiscopal, évangélisa l'Aquitaine, l'Auvergne, le Beauvaisis et s'en fut à Amiens. C'est là qu'il fut arrêté et discrètement assassiné par le gouverneur païen qui craignait les trop nombreux chrétiens de la région. L'histoire est belle, mais les détails sont peu historiques.
- ordo du diocèse d'Amiens, pages 7 et 8,  Cent trois évêques se sont succédé sur le siège d’Amiens depuis saint Firmin: sept sont honorés du culte des saints : Firmin le martyr, Euloge, Firmin le confesseur, Honoré, Saulve, Berchond, Geoffroy
1er. Saint Firmin fin IIIe siècle, 2e. Saint Euloge de 325 à 357 ?, 3e. Saint Firmin le confesseur IVe siècle, 8e. Saint Honoré de 554 à 600, 9e. Saint Saulve de 600 à 615, 10e. Saint Berchond de 615 à 644, 37e. Saint Geoffroy de 1104 à 1115.
Les diocèses du nord de la France comptent parmi les plus anciens d'Europe. Celui d'Amiens a ainsi été fondé par le sang d'un chrétien d'Espagne, Firmin, qui a été exécuté par les romains de l'époque... Le diocèse d'Amiens est créé vers la fin du IIIe siècle, au temps des premiers missionnaires venus évangéliser le nord de la Gaule. Notons, pour le diocèse, Saint Quentin, les Saints Fuscien, Victoric et Gentien, et un peu plus tard, Saint Firmin. Traditionnellement, c'est ce dernier qui est retenu comme étant le premier évêque d'Amiens... (Histoire du diocèse d'Amiens)
Saint-Firmin 2015: Une fête de famille ! (diocèse d'Amiens)
À Amiens, saint Firmin, vénéré comme évêque et martyr.

 

La vie d'un saint ne nous est pas contée pour satisfaire notre curiosité, mais pour nous entraîner à la suite de sa sainteté. Alors ? construisons nous-mêmes notre sainteté avec la grâce de l'Esprit-Saint.

Lectionnaire Emmaüs

Répondre à () :


Captcha